ArticleL512-11. Certaines catĂ©gories d'installations relevant de la prĂ©sente section, dĂ©finies par dĂ©cret en Conseil d'Etat en fonction des risques qu'elles prĂ©sentent, peuvent ĂȘtre soumises Ă des contrĂŽles pĂ©riodiques permettant Ă l'exploitant de s'assurer que ses installations fonctionnent dans les conditions requises par la
Les installations sont soumises aux dispositions des articles L. 211-1, L. 212-1 Ă L. 212-11, L. 214-8, L. 216-6, L. 216-13, L. 231-1 et L. 231-2, ainsi qu'aux mesures prises en application des dĂ©crets prĂ©vus au 1° du II de l'article L. 211-3. Les prescriptions gĂ©nĂ©rales mentionnĂ©s aux articles L. 512-5, L. 512-7 et L. 512-10 fixent les rĂšgles applicables aux installations ayant un impact sur le milieu aquatique pour la protection des intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă l'article L. 211-1, notamment en ce qui concerne leurs rejets et prĂ©lĂšvements. ArticleL512-1 du Code de l'environnement - Sont soumises Ă autorisation prĂ©fectorale les installations qui prĂ©sentent de graves dangers ou inconvĂ©nients pour les intĂ©rĂȘts visĂ©s ĂLe dĂ©posant ou titulaire d'un dĂ©pĂŽt qui n'a pas respectĂ© les dĂ©lais prescrits peut, s'il justifie d'une excuse lĂ©gitime, ĂȘtre relevĂ© des dĂ©chĂ©ances qu'il a pu encourir.
Lobligation de constitution de garanties financiĂšres en cours dâexploitation, instaurĂ©e par le dĂ©cret n° 2012-633 du 3 mai 2012, apporte une sĂ©curisation complĂ©mentaire sur les installations prĂ©sentant un risque important de pollution des sols ou des eaux en raison de la nature et de la quantitĂ© des produits et dĂ©chets dĂ©tenus (article R. 516-1 du code de lâenvironnement). Lorsqu'une installation autorisĂ©e avant le 1er fĂ©vrier 2004 est mise Ă l'arrĂȘt dĂ©finitif, son exploitant place son site dans un Ă©tat tel qu'il ne puisse porter atteinte aux intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă l'article L. 511-1 et, le cas Ă©chĂ©ant, Ă l'article L. 211-1 et qu'il permette un usage futur du site dĂ©terminĂ© conjointement avec le maire ou le prĂ©sident de l'Ă©tablissement public de coopĂ©ration intercommunale compĂ©tent en matiĂšre d'urbanisme et, s'il ne s'agit pas de l'exploitant, le propriĂ©taire du terrain sur lequel est sise l' dĂ©faut d'accord entre les personnes mentionnĂ©es au premier alinĂ©a, lorsque l'installation est mise Ă l'arrĂȘt dĂ©finitif, son exploitant place son site dans un Ă©tat tel qu'il ne puisse porter atteinte aux intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă l'article L. 511-1 et qu'il permette un usage futur du site comparable Ă celui de la derniĂšre pĂ©riode d'exploitation de l'installation mise Ă l' dans le cas oĂč la rĂ©habilitation prĂ©vue en application de l'alinĂ©a prĂ©cĂ©dent est manifestement incompatible avec l'usage futur de la zone, apprĂ©ciĂ© notamment en fonction des documents d'urbanisme en vigueur Ă la date Ă laquelle l'exploitant fait connaĂźtre Ă l'administration sa dĂ©cision de mettre l'installation Ă l'arrĂȘt dĂ©finitif et de l'utilisation des terrains situĂ©s au voisinage du site, le prĂ©fet peut fixer, aprĂšs avis des personnes mentionnĂ©es au premier alinĂ©a, des prescriptions de rĂ©habilitation plus contraignantes permettant un usage du site cohĂ©rent avec ces documents d' un nouveau site sur lequel les installations ont Ă©tĂ© autorisĂ©es Ă une date postĂ©rieure de plus de six mois Ă la publication de la loi n° 2003-699 du 30 juillet 2003 relative Ă la prĂ©vention des risques technologiques et naturels et Ă la rĂ©paration des dommages, l'arrĂȘtĂ© d'autorisation dĂ©termine, aprĂšs avis des personnes mentionnĂ©es au premier alinĂ©a, l'Ă©tat dans lequel devra ĂȘtre remis le site Ă son arrĂȘt fait attester, par une entreprise certifiĂ©e dans le domaine des sites et sols polluĂ©s ou disposant de compĂ©tences Ă©quivalentes en matiĂšre de prestations de services dans ce domaine, de la mise en Ćuvre des mesures relatives Ă la mise en sĂ©curitĂ© ainsi que de l'adĂ©quation des mesures proposĂ©es pour la rĂ©habilitation du site, puis de la mise en Ćuvre de ces derniĂšres. Un dĂ©cret en Conseil d'Etat dĂ©finit les modalitĂ©s d'application du prĂ©sent au IV de lâarticle 148 de la loi n° 2020-1525 du 7 dĂ©cembre 2020 d'accĂ©lĂ©ration et de simplification de l'action publique, les dispositions du dernier alinĂ©a sâappliquent aux cessations dâactivitĂ© dĂ©clarĂ©es Ă partir du 1er juin 2022. 2 Dans le pĂ©rimĂštre des sites patrimoniaux remarquables mentionnĂ©s Ă l'article L. 631-1 du mĂȘme code ; 5° A moins de 100 mĂštres et dans le champ de visibilitĂ© des immeublesSciences et technos Environnement La nouvelle Ă©tude, menĂ©e sur les relevĂ©s de tempĂ©ratures depuis 1979, Ă©voque un rĂ©chauffement de 1,25 °C, chaque dĂ©cennie, dans certaines rĂ©gions polaires. Le cliamt se rĂ©chauffe quatre fois plus vite que le reste du globe © JONATHAN NACKSTRAND / AFP L'Arctique s'est rĂ©chauffĂ© prĂšs de quatre fois plus vite que le reste du monde lors des quarante derniĂšres annĂ©es. Ces conclusions, d'une nouvelle Ă©tude publiĂ©e ce jeudi 11 aoĂ»t, font craindre une sous-estimation des modĂšles climatiques des pĂŽles, dont le rĂ©chauffement a une influence prĂ©pondĂ©rante sur la hausse du niveau des mers. L'Ă©tude, publiĂ©e dans la revue Communications Earth & Environment du groupe Nature, réévalue nettement Ă la hausse le rythme de rĂ©chauffement de la rĂ©gion autour du pĂŽle 2019, le panel d'experts du climat des Nations unies Giec avait estimĂ© que l'Arctique se rĂ©chauffait de plus du double de la moyenne mondiale », sous l'effet d'un processus spĂ©cifique de la rĂ©gion. Ce phĂ©nomĂšne, appelĂ© amplification arctique », se produit lorsque la banquise et la neige, qui reflĂštent naturellement la chaleur du soleil, fondent dans l'eau de mer qui absorbe plus de rayonnement solaire et se les scientifiques s'accordent depuis longtemps sur le constat d'un rĂ©chauffement accĂ©lĂ©rĂ© de l'Arctique, leurs estimations du phĂ©nomĂšne divergent toutefois selon la pĂ©riode qu'ils choisissent d'Ă©tudier ou la dĂ©finition, plus ou moins Ă©tendue, de la zone gĂ©ographique de l'Arctique. Dans la nouvelle Ă©tude, les chercheurs, basĂ©s en NorvĂšge et en Finlande, ont analysĂ© quatre sĂ©ries de donnĂ©es de tempĂ©rature recueillies sur l'ensemble du cercle arctique par des satellites depuis 1979 â annĂ©e oĂč les donnĂ©es satellitaires sont devenues disponibles. Ils en ont conclu que l'Arctique s'est rĂ©chauffĂ© en moyenne de 0,75 °C par dĂ©cennie, soit prĂšs de quatre fois plus vite que le reste de la LIRE AUSSILuc de Barochez â Le pĂŽle Nord, eldorado du siĂšcleDes chercheurs surpris » par leurs rĂ©sultatsEn raison des gaz Ă effet de serre gĂ©nĂ©rĂ©s par les activitĂ©s humaines, principalement par les Ă©nergies fossiles, la planĂšte a d'ores et dĂ©jĂ gagnĂ© prĂšs de 1,2 °C depuis l'Ăšre prĂ©industrielle. La littĂ©rature scientifique considĂšre que l'Arctique se rĂ©chauffe environ deux fois plus vite que le reste de la planĂšte, j'ai donc Ă©tĂ© surpris que notre conclusion soit bien plus Ă©levĂ©e que le chiffre habituel », explique Ă l'Agence France-Presse Antti Lipponen, membre de l'Institut finlandais de mĂ©tĂ©orologie et coauteur de l' a toutefois relevĂ© d'importantes variations locales du taux de rĂ©chauffement au sein du cercle arctique. Par exemple, le secteur eurasien de l'ocĂ©an Arctique, prĂšs de l'archipel norvĂ©gien de Svalbard et celui russe de Nouvelle-Zemble, s'est rĂ©chauffĂ© de 1,25 °C par dĂ©cennie, soit approximativement sept fois plus vite que le reste du a constatĂ© que les modĂšles climatiques les plus en pointe prĂ©voyaient un rĂ©chauffement de l'Arctique infĂ©rieur d'environ un tiers Ă ce que dĂ©montrent leurs propres donnĂ©es. Cet Ă©cart, selon eux, pourrait s'expliquer par l'obsolescence des prĂ©cĂ©dentes modĂ©lisations du climat arctique, en perfectionnement constant. La prochaine Ă©tape serait peut-ĂȘtre de jeter un Ćil sur ces modĂšles, de voir pourquoi ils ne prĂ©voient pas ce que nous constatons dans les observations et quel impact cela a sur les futures projections climatiques », a dĂ©clarĂ© Antti LIRE AUSSIClimat la disparition de nombreux glaciers est dĂ©jĂ irrĂ©versible » Cela nous affectera tous »Le rĂ©chauffement intense de l'Arctique, en plus d'un sĂ©rieux impact sur les habitants et sur la faune locale, qui dĂ©pend de la continuitĂ© de la glace de mer pour chasser, aura aussi des rĂ©percussions mondiales. Le changement climatique est causĂ© par l'homme et Ă mesure que l'Arctique se rĂ©chauffe, ses glaciers vont fondre, ce qui aura une incidence globale sur le niveau des mers », a rappelĂ© l'expert. Il se passe quelque chose dans l'Arctique et cela nous affectera tous », s' fonte de la calotte glaciaire est le principal moteur de la hausse du niveau de la mer, devant la fonte des glaciers et l'expansion de l'ocĂ©an sous l'effet du rĂ©chauffement de l'eau. La fonte de la banquise la glace sur les ocĂ©ans ne fait pas monter le niveau de la mer. Selon le Giec, le niveau de la mer est montĂ© de 20 cm depuis 1900. Or le rythme de cette hausse a presque triplĂ© depuis 1990 et, selon les scĂ©narios, les ocĂ©ans pourraient encore gagner 40 Ă 85 cm d'ici Ă la fin du siĂšcle. La calotte glaciaire du Groenland, qui pourrait approcher du point de bascule » de la fonte selon des Ă©tudes rĂ©centes, contient une quantitĂ© d'eau glacĂ©e capable d'Ă©lever le niveau des ocĂ©ans de la Terre jusqu'Ă six LIRE AUSSILes catastrophes naturelles affectent-elles notre rapport au risque climatique ? Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement LâArctique se rĂ©chauffe quatre fois plus vite que le reste du globe 13 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă la charte de modĂ©ration du Point. Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă la charte de modĂ©ration du Point.Enapplication de I'Article L512 et conformĂ©ment aux dispositions des articles R.512-46-1 R.512- 46-7 du Code de l'Environnement, je soussignĂ© RĂ©fĂ©rences: Code de l'environnement - Partie rĂ©glementaire (Livre V- Titre I) - R.512-46-1 R.512-46-7 0b jet: Demande d'enregistrement au titre de la rĂ©glementation des Installations ClassĂ©es pour la
Temps de lecture 2 minutes CE 20 janvier 2014 M. B., req. n° 373220 MentionnĂ© aux Tables Par une dĂ©cision du 20 janvier 2014, le Conseil dâEtat a jugĂ© sur le fondement de lâarticle L. 214-3 II du code de lâenvironnement que lâautoritĂ© administrative Ă©tait dans lâobligation de sâopposer Ă un projet mĂ©connaissant un schĂ©ma directeur dâamĂ©nagement et de gestion des eaux SDAGE, un schĂ©ma dâamĂ©nagement et de gestion des eaux SAGE ou un intĂ©rĂȘt mentionnĂ© Ă lâarticle L. 211-1. En effet, il prĂ©cise quâen cas dâatteinte Ă un des documents prĂ©citĂ©s, si aucune prescription spĂ©ciale ne peut y remĂ©dier, il appartiendrait Ă lâautoritĂ© administrative compĂ©tente de sây opposer ». Le juge dĂ©duit alors de cette obligation quâune dĂ©cision de non-opposition ne peut donc en aucun cas avoir une incidence sur lâenvironnement et nâest donc pas soumise Ă une obligation dâinformation et de participation du public telle que prĂ©vue par lâarticle 7 de la Charte de lâenvironnement. Pourtant, lâarticle L. 214-3 II en cause indique seulement que lâautoritĂ© administrative peut sâopposer Ă lâopĂ©ration projetĂ©e sâil apparaĂźt quâelle est incompatible avec les dispositions du schĂ©ma directeur dâamĂ©nagement et de gestion des eaux ou du schĂ©ma dâamĂ©nagement et de gestion des eaux, ou porte aux intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă lâarticle L. 211-1 une atteinte dâune gravitĂ© telle quâaucune prescription ne permettrait dây remĂ©dier ». Eu Ă©gard Ă la rĂ©daction du texte, il Ă©tait jusquâalors possible de considĂ©rer que lâautoritĂ© administrative ne disposait que dâune simple facultĂ© dâopposition. Certaines dĂ©cisions mentionnaient dâailleurs lâexistence dâ un droit Ă opposition » et non dâune obligation CE 27 juin 2007 Association nationale pour la protection des eaux et riviĂšres, req. n° 297531 MentionnĂ© aux Tables. Ce droit semble dĂ©sormais ĂȘtre une obligation. La dĂ©cision en cause est dâautant plus novatrice quâen principe en matiĂšre de dĂ©cision dâopposition les textes ont une portĂ©e prĂ©cise. Par exemple, en matiĂšre dâurbanisme, lâarticle L. 421-7 du code de lâurbanisme impose Ă lâautoritĂ© compĂ©tente de sâopposer Ă la dĂ©claration prĂ©alable, si cette derniĂšre mĂ©connaĂźt la lĂ©gislation applicable en matiĂšre dâurbanisme[1]. Toutefois on pourrait considĂ©rer que la rĂ©cente dĂ©cision du Conseil dâEtat fait Ă©cho Ă une jurisprudence constante applicable en matiĂšre dâinstallation classĂ©e pour la protection de lâenvironnement ICPE qui prĂ©voit que si le prĂ©fet sâabstient dâimposer des prescriptions particuliĂšres Ă une installation mĂ©connaissant les prescriptions gĂ©nĂ©rales applicables, il engage la responsabilitĂ© de lâEtat CAA Bordeaux 25 fĂ©vrier 1993 Commune de Saint-PĂ©e-sur-Nivelle, req. n° 90BX00281 MentionnĂ© aux Tables. Pourtant, comme lâarticle L. 213-4 II, lâarticle L. 512-12 du code de lâenvironnement prĂ©voit que si les intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă lâarticle L. 511-1 ne sont pas garantis par lâexĂ©cution des prescriptions gĂ©nĂ©rales contre les inconvĂ©nients inhĂ©rents Ă lâexploitation dâune installation soumise Ă dĂ©claration, le prĂ©fet, Ă©ventuellement Ă la demande des tiers intĂ©ressĂ©s et aprĂšs avis de la commission dĂ©partementale consultative compĂ©tente, peut imposer par arrĂȘtĂ© toutes prescriptions spĂ©ciales nĂ©cessaires ». DĂšs lors, la dĂ©cision commentĂ©e a le mĂ©rite dâencadrer le pouvoir de lâautoritĂ© administrative en matiĂšre de dĂ©claration dite loi sur eau » mais elle lui ĂŽte Ă©galement tout pouvoir dâapprĂ©ciation. Avec cette dĂ©cision, un pas de plus est donc franchi vers la protection accrue de la ressource en eau⊠[1] PrĂ©vue Ă lâarticle L. 421-6 du code de lâurbanisme
Sontsoumises Ă autorisation prĂ©fectorale les installations qui prĂ©sentent de graves dangers ou inconvĂ©nients pour les intĂ©rĂȘts visĂ©s Ă l'article L. 511-1. L'autorisationAller au contenuAller au menuAller au menuAller Ă la recherche Informations de mises Ă jour Gestion des cookies Nous contacter Droit nationalen vigueur Constitution Constitution du 4 octobre 1958 DĂ©claration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 PrĂ©ambule de la Constitution du 27 octobre 1946 Charte de l'environnement Codes Textes consolidĂ©s Jurisprudence Jurisprudence constitutionnelle Jurisprudence administrative Jurisprudence judiciaire Jurisprudence financiĂšre Circulaires et instructions Accords collectifs Accords de branche et conventions collectives Accords d'entreprise Publicationsofficielles Bulletins officiels Bulletins officiels des conventions collectives Journal officiel DĂ©bats parlementaires Questions Ă©crites parlementaires Documents administratifs Autourde la loi Codification Rapports annuels de la Commission supĂ©rieure de codification Tables de concordance LĂ©gislatif et rĂ©glementaire Dossiers lĂ©gislatifs Etudes d'impact des lois Les avis du Conseil d'Ătat rendus sur les projets de loi Application des lois Fiches d'impact des ordonnances, dĂ©crets et arrĂȘtĂ©s Statistiques de la norme Charte orthotypographique du Journal officiel AutoritĂ©s indĂ©pendantes AutoritĂ©s administratives indĂ©pendantes et autoritĂ©s publiques indĂ©pendantes relevant du statut gĂ©nĂ©ral dĂ©fini par la loi n° 2017-55 du 20 janvier 2017 AutoritĂ©s ne relevant pas du statut gĂ©nĂ©ral des autoritĂ©s administratives indĂ©pendantes Entreprises Tableaux et chronologies des dates communes d'entrĂ©e en vigueur Norme Afnor d'application obligatoire Guide de lĂ©gistique SVA "Silence vaut accord" Droit et jurisprudencede l'Union europĂ©enne Journal officiel de l'Union europĂ©enne Jurisprudence de l'Union EuropĂ©enne Droitinternational Jurisprudence CEDH Juridictions internationales âč Article prĂ©cĂ©dentArticle suivant âșCode de l'environnementChronoLĂ©gi Article L537-1 - Code de l'environnement »Version Ă la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 21 septembre 2000Partie lĂ©gislative Articles L110-1 Ă L713-9Livre V PrĂ©vention des pollutions, des risques et des nuisances Articles L501-1 Ă L597-46Titre III Organismes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©s Articles L531-1 Ă L537-1Chapitre VII Dispositions diverses Article L537-1 Article L537-1 Naviguer dans le sommaire du code Version en vigueur depuis le 21 septembre 2000 Les modalitĂ©s d'application des chapitres III, V et VI du prĂ©sent titre sont fixĂ©es par dĂ©cret en Conseil d' en haut de la pageĂCookies est le dĂ©pot de cookies pour accĂ©der Ă cette fonctionnalitĂ©
organismesagréés (article L512-11 du code de l'environnement). La pĂ©riodicitĂ© du contrĂŽle est de 5 ans maximum, sauf cas particulier (article R512-57 du code de l'environnement). Le premier contrĂŽle dâune installation doit avoir lieu dans les six mois qui suivent sa mise en service, sauf situation particuliĂšre prĂ©cisĂ©e Ă l
articlesL. 512-6-1, L. 512-7-6 et L. 512-12-1 du code lâenvironnement ; â pour les entreprises dĂ©livrant des attestations garantissant lâadĂ©quation des mesures de gestion proposĂ©es pour la rĂ©habilitation dâinstallations mises Ă lâarrĂȘt dĂ©finitif, conformĂ©ment aux dispositions des articles L. 512-6-1 et L. 512-7-6 du code lâenvironnement ; â pour les entreprisesLorsque l'installation soumise Ă dĂ©claration est mise Ă l'arrĂȘt dĂ©finitif, l'exploitant place le site dans un Ă©tat tel qu'il ne puisse porter atteinte aux intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă l'article L. 511-1 et qu'il permette un usage futur comparable Ă la derniĂšre pĂ©riode d'activitĂ© de l'installation. Il en informe le propriĂ©taire du terrain sur lequel est sise l'installation ainsi que le maire ou le prĂ©sident de l'Ă©tablissement public de coopĂ©ration intercommunale compĂ©tent en matiĂšre d' les modalitĂ©s et dans les cas dĂ©finis par dĂ©cret en Conseil d'Etat, l'exploitant fait attester de la mise en Ćuvre des mesures relatives Ă la mise en sĂ©curitĂ© du site par une entreprise certifiĂ©e dans le domaine des sites et sols polluĂ©s ou disposant de compĂ©tences Ă©quivalentes en matiĂšre de prestations de services dans ce au IV de lâarticle 148 de la loi n° 2020-1525 du 7 dĂ©cembre 2020 d'accĂ©lĂ©ration et de simplification de l'action publique, les dispositions du dernier alinĂ©a sâappliquent aux cessations dâactivitĂ© dĂ©clarĂ©es Ă partir du 1er juin 2022. articles L. 511-1, L 512-7 et R 512-46-11 Ă R 512-46-24 titre V du Code de l'environnement) La sociĂ©tĂ©AMR dont le siĂšge social se situe au Bassin n° 3 BP10104 17303 Rochefort Cedex a dĂ©posĂ© Ă la PrĂ©fecture de la Charente-Maritime, un dossier de demande dâenregistrement, au titre des installations classĂ©es pour la protection de lâenvironnement, portant sur une ENVIRONNEMENT - Le Centre de Recherches Insulaires et Observatoire de l'Environnement Criobe, basĂ© Ă Moorea en PolynĂ©sie française, a adoptĂ© le premier code Ă©thique français. Il est destinĂ© Ă encadrer les recherches impliquant des populations autochtones et abolir les rapports dĂ©sĂ©quilibrĂ©s entre les chercheurs et ces populations. ENVIRONNEMENT - Le Centre de Recherches Insulaires et Observatoire de l'Environnement Criobe, basĂ© Ă Moorea en PolynĂ©sie française, a adoptĂ© le premier code Ă©thique français. Il est destinĂ© Ă encadrer les recherches impliquant des populations autochtones et abolir les rapports dĂ©sĂ©quilibrĂ©s entre les chercheurs et ces populations. L'application de ce code Ă©thique met fin Ă l'exclusion et Ă la marginalisation des peuples autochtones dans le cadre de travaux de recherche et a pour ambition la protection et le respect de leurs savoirs traditionnels. Exemplaire et symbolique, le code Ă©thique du Criobe pose les premiers jalons d'une volontĂ© Ă©manant du monde de la recherche d'adopter des pratiques respectueuses envers les droits des peuples autochtones. La Fondation France LibertĂ©s lutte activement contre la biopiraterie, c'est-Ă -dire l'appropriation illĂ©gitime des savoirs traditionnels des peuples autochtones sur la biodiversitĂ©. A ce titre, la fondation salue l'initiative du Criobe et encourage le monde de la recherche française Ă s'en inspirer et adopter des pratiques plus Ă©thiques. L'initiative est d'autant plus Ă©difiante que le projet de loi biodiversitĂ© en France, visant notamment Ă apporter des rĂ©ponses Ă la biopiraterie, peine Ă faire son chemin au Parlement. A travers son article DĂ©colonisation de la recherche Un centre de recherche polynĂ©sien adopte un code Ă©thique pour protĂ©ger les populations autochtones et locales », Thomas Burelli, Doctorant en Droit Ă l'UniversitĂ© d'Ottawa et l'UniversitĂ© de Perpignan, explique comment le Criobe s'engage sur la voie de la dĂ©colonisation de la recherche. DĂ©colonisation de la recherche Un centre de recherche polynĂ©sien adopte un code Ă©thique pour protĂ©ger les populations autochtones et locales Un centre de recherche polynĂ©sien s'engage sur la voie de la dĂ©colonisation de la recherche Thomas BURELLI Doctorant en Droit - UniversitĂ© d'Ottawa Canada / UniversitĂ© de Perpignan France Le terme de recherche » est probablement un des mots les plus vicieux dans le vocabulaire du monde autochtone. Lorsqu'il est mentionnĂ© dans de nombreux contextes autochtones, il entraĂźne le silence, il Ă©voque de mauvais souvenirs, il provoque des sourires qui sont Ă la fois malins et mĂ©fiants ». Cette citation de la chercheuse autochtone Maori Linda Tuhiwai Smith illustre bien l'Ă©tat de mĂ©fiance et l'apprĂ©hension trĂšs rĂ©pandus parmi les communautĂ©s autochtones vis-Ă -vis de la recherche scientifique en raison d'abus passĂ©s et contemporains. En PolynĂ©sie française, cette mĂ©fiance apparaĂźt avec un relief particulier lorsqu'on songe que la recherche scientifique a Ă©tĂ© associĂ©e pendant plusieurs dĂ©cennies avec les essais nuclĂ©aires atmosphĂ©riques puis sous-marins. Historiquement, la recherche scientifique et les processus de colonisation ont en effet entretenu des liens trĂšs Ă©troits. Ainsi, dĂšs les premiers contacts entre les communautĂ©s autochtones et les explorateurs europĂ©ens, les connaissances des premiers, en particulier les connaissances botaniques mĂ©dicinales et agronomiques, ont fait l'objet de nombreuses attentions motivĂ©es par plusieurs enjeux la survie des colons confrontĂ©s aux maladies, le prestige personnel des explorateurs, la recherche scientifique ou encore l'identification et le dĂ©veloppement de nouvelles ressources exploitables dans le cadre des entreprises coloniales. Dans de nombreux cas, les communautĂ©s autochtones ont ainsi participĂ© au dĂ©veloppement des connaissances scientifiques sous la contrainte et sans ĂȘtre associĂ©es symboliquement ou financiĂšrement aux bĂ©nĂ©fices dĂ©coulant de ces dĂ©veloppements. Cinq siĂšcles plus tard, l'intĂ©rĂȘt pour les recherches menĂ©es au contact des communautĂ©s autochtones n'a pas faibli, bien au contraire. En tĂ©moignent par exemple les nombreux projets de recherche portant sur l'accĂšs et la valorisation des savoirs autochtones associĂ©s Ă l'environnement, notamment dans l'outremer français. S'il n'est plus question de rapports ouvertement coloniaux entre les chercheurs et les communautĂ©s autochtones, ces derniĂšres voient encore dans de nombreux cas leur patrimoine culturel immatĂ©riel appropriĂ© sans qu'elles aient pu donner leur consentement libre et Ă©clairĂ© et sans qu'elles soient associĂ©es au partage des avantages dĂ©coulant de l'exploitation de ce patrimoine. En somme, les communautĂ©s sont encore dans bien des cas considĂ©rĂ©es comme des sujets de recherches et non comme des partenaires, tandis que leur patrimoine matĂ©riel et immatĂ©riel est souvent considĂ©rĂ© comme librement appropriable et exploitable. Afin d'encadrer les recherches impliquant les communautĂ©s autochtones et prĂ©venir les situations d'abus, des cadres Ă©thiques ont parfois Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©s. Il existe par exemple au Canada un Ă©noncĂ© de politique relatif Ă l'Ă©thique de la recherche avec des ĂȘtres humains adoptĂ© en 1998 par les trois Conseils de recherche, qui constituent les principaux organismes de financement de la recherche le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada CRSH, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en gĂ©nie du Canada CRSNG et les Instituts de recherche en santĂ© du Canada IRSC. Cet Ă©noncĂ© de politique s'applique Ă toutes les recherches impliquant des ĂȘtres humains, qu'il s'agisse de travaux dans le champ des sciences sociales ou des sciences mĂ©dicales. La France apparaĂźt elle bien en retard pour ce qui est de la dĂ©colonisation des rapports entre les chercheurs et les communautĂ©s autochtones, pourtant trĂšs reprĂ©sentĂ©es dans les territoires de l'outremer et dĂ©tentrices d'un patrimoine culturel trĂšs riche et d'une grande valeur pour la connaissance. En effet, l'expertise de ces populations comprend notamment des connaissances de ressources botaniques d'intĂ©rĂȘt mais Ă©galement de connaissances relatives au fonctionnement des Ă©cosystĂšmes qui peuvent se rĂ©vĂ©ler cruciales dans le cadre du suivi et de l'adaptation aux changements climatiques. Or, si l'Ă©thique dans le champ des sciences mĂ©dicales a fortement Ă©voluĂ© aprĂšs la seconde guerre mondiale et la dĂ©couverte des expĂ©rimentations sur l'humain, l'Ă©thique dans le champ des sciences sociales, et notamment les recherches impliquant les communautĂ©s autochtones est trĂšs peu dĂ©veloppĂ©e en France. Des rĂ©flexions approfondies ont pourtant Ă©tĂ© menĂ©es et des appels Ă l'action ont Ă©tĂ© formulĂ©s Ă destination des chercheurs et de leurs instituts. Ainsi, en 2007, le ComitĂ© d'Ă©thique du CNRS Comets a rendu un avis portant sur l'impĂ©ratif d'Ă©quitĂ© dans les rapports entre chercheurs et population autochtones rendu en 2007. Le Comets soulignait alors l'importance de rapports Ă©quitables entre les scientifiques et les communautĂ©s autochtones, d'une part afin d'assurer une pĂ©rennitĂ© des activitĂ©s de recherche » et donc Ă©viter que les populations refusent par mĂ©fiance de participer aux recherches, et d'autre part en raison du respect dĂ» aux populations autochtones et Ă leur patrimoine. Constatant l'absence de protection internationale et nationale effective en faveur des populations autochtones participant Ă des projets de recherche, le Comets indiquait alors que l'Ă©quitĂ© dĂ©pendra essentiellement de la volontĂ© des Ă©quipes de recherche et de leur direction d'organiser et d'adapter leurs pratiques aux impĂ©ratifs en jeu », ajoutant que rien de sĂ©rieux ne pourra se faire sans une profonde Ă©volution des pratiques des chercheurs eux-mĂȘmes, qui devraient se doter des moyens de policer leur action ». Cet avis, pourtant d'une trĂšs grande qualitĂ© n'a pas Ă©tĂ© suivi d'effets et aucun code Ă©thique spĂ©cifique aux recherches impliquant les communautĂ©s n'a vu le jour jusqu'Ă trĂšs rĂ©cemment. En effet, le Centre de Recherches Insulaires et Observatoire de l'environnement Criobe basĂ© Ă Moorea en PolynĂ©sie française vient d'adopter le premier code Ă©thique français visant spĂ©cifiquement Ă encadrer les recherches impliquant les populations autochtones et locales. Le code Ă©thique du Criobe s'applique Ă toutes les recherches impliquant les populations autochtones et locales, c'est-Ă -dire les projets de recherche visant la collecte du patrimoine culturel autochtone, mais Ă©galement les projets portant sur l'observation, le suivi ou la valorisation de la biodiversitĂ© et ses Ă©lĂ©ments disposant d'une valeur culturelle et symbolique pour les populations autochtones et locales. Il s'agit lĂ d'une vĂ©ritable rĂ©volution dans la mesure oĂč jusqu'Ă prĂ©sent, ces recherches ne sont encadrĂ©es par aucun dispositif spĂ©cifique tenant compte des enjeux et des perspectives propres aux communautĂ©s autochtones. De cette maniĂšre, les objectifs du Criobe et de ses chercheurs consistent notamment Ă Ă©tablir une relation de confiance entre les chercheurs et les populations autochtones et locales, Ă promouvoir la participation de celles-ci, ainsi qu'Ă prĂ©venir les utilisations inappropriĂ©es du patrimoine culturel ou les comportements qui pourraient ĂȘtre perçus comme abusifs et offensants pour les populations autochtones et locales. Pour cela, le code du Criobe introduit des rĂšgles de conduite et des mĂ©canismes simples Ă destination des chercheurs. Le code insiste en particulier sur le consentement et l'information des populations, une information qui doit ĂȘtre adaptĂ©e notamment par l'utilisation des langues vernaculaires et la plus complĂšte possible, incluant notamment les avantages et les risques de la recherche pour les participants. Le code prĂ©voit Ă©galement que les chercheurs doivent utiliser des formulaires de consentement afin de formaliser le consentement des participants Ă la recherche et justifier de l'information communiquĂ©e. En ce qui concerne l'utilisation des connaissances et savoirs qui peuvent ĂȘtre collectĂ©es Ă l'occasion de projets de recherche, le code vise Ă s'assurer que le contrĂŽle de leur circulation demeure dans les mains des communautĂ©s conformĂ©ment Ă la dĂ©claration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones de 2007 en particulier son article 31. Les chercheurs ne peuvent par exemple pas utiliser les donnĂ©es collectĂ©es pour d'autres usages que ceux autorisĂ©s lors du recueil du consentement. De la mĂȘme maniĂšre, les chercheurs s'engagent Ă informer les communautĂ©s autochtones dans l'Ă©ventualitĂ© de la possibilitĂ© de dĂ©poser des droits de propriĂ©tĂ© industrielle, par exemple un brevet, suite Ă l'exploitation de connaissances autochtones et d'associer, le cas Ă©chĂ©ant, les communautĂ©s au dĂ©pĂŽt. Il s'agit lĂ encore d'une rĂ©volution compte tenu des pratiques parfois observables dans le cadre de projets en ethnobotanie ou en ethnopharmacologie dans lesquels les communautĂ©s et leurs membres ne sont gĂ©nĂ©ralement pas associĂ©s au dĂ©pĂŽt de brevet ni aux avantages qui en dĂ©coulent, quand bien mĂȘme ils auraient contribuĂ© de maniĂšre dĂ©cisive au dĂ©veloppement de l'innovation biotechnologique objet du brevet. Alors que la France poursuit les dĂ©bats sur le projet de la loi sur la biodiversitĂ© dont le titre IV traite pour partie des droits des communautĂ©s autochtones sur leurs savoirs associĂ©s Ă l'environnement, un laboratoire français a dĂ©cidĂ© d'agir et d'encadrer les recherches menĂ©es par ses chercheurs. Il s'agit lĂ d'une dĂ©marche Ă la fois courageuse et exemplaire. Elle est courageuse dans la mesure oĂč il s'agit du premier code Ă©thique français dans ce domaine et car certains pourraient objecter que ce centre crĂ©e de nouveaux obstacles Ă la recherche. C'est pourtant tout le contraire qu'il est possible d'envisager. Ce qui pourrait ĂȘtre perçu comme de nouvelles contraintes inutiles, pourraient au contraire trĂšs rapidement constituer des procĂ©dures standardisĂ©es de nature Ă renforcer Ă long terme les relations avec les communautĂ©s autochtones. De cette maniĂšre, la dĂ©marche du Criobe pourrait permettre la rĂ©alisation de projets scientifiques collaboratifs de plus en plus ambitieux, tout en Ă©vitant les accusations d'exploitation abusives autrement plus prĂ©judiciables pour la pĂ©rennitĂ© des recherches et la rĂ©putation des chercheurs et instituts. La dĂ©marche du Criobe est Ă©galement exemplaire en ce sens que, le centre n'attend pas une hypothĂ©tique action des autoritĂ©s publiques qui tarde Ă venir depuis l'adoption des premiers textes internationaux relatifs Ă la protection des droits des peuples autochtones au dĂ©but des annĂ©es 1990. Au contraire, le Criobe a pris pleinement conscience de son rĂŽle et de sa capacitĂ© Ă rĂ©guler les actions de ses chercheurs, en s'appuyant notamment sur des expĂ©riences Ă©trangĂšres. Il ne s'agit Ă©videmment que d'une premiĂšre Ă©tape, et le code sera trĂšs probablement amenĂ© Ă ĂȘtre complĂ©tĂ© et amĂ©liorĂ©, notamment par l'ajout de formulaires standards. Son adoption constitue nĂ©anmoins indĂ©niablement une rĂ©alisation symbolique et normative dĂ©cisive dans le paysage de la recherche française. - le code Ă©thique du criobe - Site du criobe * Le code Ă©thique du Criobe a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ© dans le cadre du projet de recherche Ethnobio » dirigĂ© par le chercheur anthropologue du CNRS Tamatoa Bambridge et avec la participation de Thomas Burelli doctorant Ă l'UniversitĂ© d'Ottawa et l'UniversitĂ© de Perpignan qui a mobilisĂ© son expertise des pratiques Ă©thiques canadiennes dans ce domaine.
ArticleL512-1 Version en vigueur depuis le 01 mars 2017 ModifiĂ© par Ordonnance n°2017-80 du 26 janvier 2017 - art. 5 Sont soumises Ă autorisation les installations qui prĂ©sentent de graves dangers ou inconvĂ©nients pour les intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă.